NOMS ▽ Glenwood-Karachi. Le premier vient de son père, cet homme ignoble dont il ne veut plus entendre parler.  Depuis que sa mère, sa sœur et lui l’ont quitté, il a décidé de prendre le nom de sa mère, qu’il est fier de porter. Glenwood-Karachi est simplement son nom pour les papiers. PRÉNOMS ▽ Sidjay Benedict. Le premier est pour sa mère, qui a lourdement insisté auprès de son père. Le second et bien, c’est le prénom de son père. Il trouve ce prénom très classe et estime que son paternel ne le mérite absolument pas. SURNOMS ▽ Le plus commun est Sid, comme le paresseux dans l’âge de glace. Jay est pas mal répandu également. ÂGE ▽ vingt-trois ans. DATE DE NAISSANCE ▽ le quatorze septembre 1990. LIEU DE NAISSANCE ▽ Christchurch, en Nouvelle-Zélande. ORIGINES ▽ Pakistanais par sa mère, et néo-zélandais par son père. NATIONALITÉ ▽ néo-zélandais. ORIENTATION SEXUELLE ▽ hétérosexuel, mais il n’est pas contre quelques changements de temps en temps. STATUT SOCIAL ▽ il a été très pauvre, cela va désormais un peu mieux. Il pourrait même dire qu’il s’en sort plutôt pas mal, mais dans la mesure où il donne la moitié de son salaire à sa mère et sa sœur, il a encore quelques légers soucis financiers. STATUT CIVIL ▽ célibataire depuis trois mois. MÉTIER ET/OU ÉTUDES ▽ il travaille comme « homme à tout faire » chez les Oxburry. En vérité, il est également là pour prendre soin de Zara. Pas qu’il ne s’en plaigne, bien entendu. AVATAR ▽ Zayn Malik CRÉDITS ▽ tumblr

QUALITÉS ▽ déterminé + débrouillard + autonome + souriant + drôle + joyeux + taquin + dynamique + cordon bleu + protecteur + compréhensif + loyal + fidèle + honnête + observateur + virtuose + organisé + passionné + généreux + romantique + sensible + courageux.
DÉFAUTS ▽ jaloux + discret + sang chaud + bagarreur + têtu + fier + impulsif + tête brûlé + délinquant + dragueur + emmerdeur + sarcastique + renfermé.

→ en soirée, quand vous trouvez quelqu'un à votre goût, quelle est la première chose à laquelle vous pensez ?
« il est sex / elle est bonne. » « hé madame ! avec tes yeux de biche, j'ai envie de t'appeler Bambi ! » « il / elle ressemble à mon père / ma mère. »

→ votre moitié vous dit je t'aime pour la première fois, quelle est votre réaction ?
je lui montre la sortie. je me mets à pleurer et je la demande en mariage. j'explose de rire.

→ vous avez passé la nuit en très charmante compagnie et vous vous réveillez à ses côtés.
je le / la fous dehors vite fait sans même lui laisser le temps de se rhabiller. je le / la regarde dormir. après tout, il / elle est trop mignon / ne comme ça. je lui vole ses sous-vêtements pour qu'il / elle passe quelques minutes de plus avec moi.

→ vous venez de vous faire plaquer, comment réagissez-vous ?
impossible, je le fais toujours avant. je pleure toutes les larmes de mon corps. j'appelle ma mère pour lui dire de préparer ses fameux cookies "spécial chagrin".

→ pour vous, les contes de fée, ça représente quoi ?
je préfère les adaptations où le prince a piqué ses fringues à la princesse. la vie parfaite. en plus, les oiseaux font le ménage. la seule personne qui a le droit de m'en lire, c'est ma mère, avant que j'aille me coucher.

PSEUDO/PRÉNOM ▽ tia ÂGE ▽ 15 yo SEXE ▽ femelle PLANÈTE/PAYS/RÉGION ▽ the neverland    LES LICORNES, TU AIMES ? ▽ of course i do    T'AS PAS ENVIE D'ÊTRE UN PANDA, TOI ? ▽ on fait comment ?    TU NOUS AS CONNU COMMENT ? ▽ bazzart ON EST BAISABLE OU PAS ? ▽ hell yes    UNE PROPOSITION OU SUGGESTION A NOUS FAIRE ? ▽ will you marry me ?    UN DERNIER TRUC A DIRE POUR TA DÉFENSE ? ▽ prout   

Code:

<pris>ZAYN MALIK ɷ</pris> sidjay b. g.-karachi

Beaucoup considèrent l’enfance comme la plus belle période de notre vie. Cette période où nous sommes encore innocents, purs, croyant à des choses qui font sourire les adultes. Le Père Noël, la Petite Souris, Marraine La Bonne Fée, Le Lapin De Pâques. Ce sont des années magiques, qui manquent à une grande partie des adultes. Ils regrettent de ne plus être ces humains miniatures s’émerveillant de tout et n’importe quoi. Leurs yeux ne brillent plus en voyant un papillon passer devant leurs yeux, où ils ne pointent plus leur doigt vers le ciel lorsqu’un arc-en-ciel apparait, tout excité. Lorsqu’ils revoient des films de Disney, ils comprennent le sens caché et au final, ils ne les voient plus de la façon dont un enfant les voit. C’est quelque chose de triste, qui rend beaucoup de monde nostalgique. Pas Sidjay. Il garde un terrible souvenir de son enfance, rythmée par les coups et les cris. Il ne souhaite pas y retourner. L’enfance, c’est la pire période de sa vie, il en est certain. Il revoit encore sa mère se recroqueviller sous les coups de son père, tentant désespérément de supporter sa colère à elle seule, voulant à tout prix protéger son fils. Mais même enfant, Sidjay ne pouvait rester les bras croisés, regardant sa chère mère souffrir ainsi. Il s’interposait toujours, malgré les coups qu’il recevait. Il est simple de comprendre pourquoi il ne garde pas un bon souvenir de son enfance, et pourquoi il ne souhaite pas la retrouver. Il n’en a jamais vraiment eu une, en vérité. Il a dû grandir bien trop vite, d’abord pour protéger sa mère, puis sa sœur, qui est arrivée lorsqu’il avait cinq ans. Il s’était toujours promis de la protéger, de la défendre, quoi qu’il puisse arriver. Il est rentré dans une colère noire lorsqu’en rentrant de l’école un soir, il découvrit un bleu sur le ventre de sa Samira adorée. Sans réfléchir, il détala en direction de son père, se jetant sur lui pour le frapper de ses mains d’enfants. Il possède encore les cicatrices de cette altercation, mais il ne le regrette pas. Il le méritait cette fois-ci, car il n’avait pas pu protéger sa sœur. C’était la première fois qu’il était violent, et cela n’était que le début.

Lorsqu’ils quittèrent le domicile familial pour se rendre chez une amie de leur mère, Sidjay eu du mal à croire que son calvaire était terminé, ainsi que celui de sa mère et de sa sœur. Il ne parvenait pas  à dormir, terrifié d’entendre frapper à la porte et que son père apparaisse pour venir les chercher. Finalement, il comprit que cela n’arriverait jamais et enfin, il recommença à vivre. A respirer à nouveau. La situation qu’ils avaient été cependant précaire, surtout au niveau financier. Il commença à travailler dès qu’il le pu, en tant que serveur, vendeur, réceptionniste, gardien, baby-sitter, professeur de guitare. Il fit tout pour aider sa famille, et il continue encore à le faire. Lorsqu’il était au lycée, on le regardait avec crainte et admiration. C’était un solitaire, désiré mais inaccessible. On le considérait comme le badboy du lycée, celui qui tague les murs et les casiers, fume des cigarettes et porte des vestes en cuir. Il se bagarrait aussi, souvent. Pour un rien, car il était énervé, pour se défouler. Il prit cette mauvaise habitude d’en finir sans cesse aux mains, et cela lui apporta d’ailleurs quelques soucis avec la justice, mais rien d’irréparable. Il se rendit rapidement compte de son charme envers les filles et il en profita un maximum. C’est quelque chose qu’il continue de faire d’ailleurs, ayant dans son cercle d’amis une réputation de coureur de jupons. Il fut cependant en couple durant un an et demi, au grand étonnement de tout le monde. Il partageait même un appartement avec elle, Amanda. Malheureusement, il s’agissait de son appartement à elle et lorsqu’elle le largua, il se retrouva à la rue. Il eut cependant de la chance dans son malheur, car cela lui permit d’emménager chez les Oxburry.

C’est certainement d’avoir trouvé un bon travail dans cette famille de riche qui lui sauva la mise, ainsi qu’à sa mère et sa sœur. La paye était étonnamment élevé pour un job qui n’était pas si compliqué que cela. Il n’allait bien entendu pas se plaindre. Faire la cuisine, mettre les lessives en route, ranger la maison et faire les poussières devint donc quelque chose de commun dans ses journées. En plus de cela, il y avait Zara. Sidjay savait depuis le départ qu’il allait devoir l’aider, compte tenu de son handicap. Cela ne le dérangeait pas vraiment, il était toujours le premier à vouloir aider les autres. Et puis au moins, il ne s’ennuierait pas trop. Madame Oxburry n’était pas souvent présente, alors un peu de compagnie ne lui ferait pas de mal. Il n’avait pas vu Zara immédiatement, mais la première fois qu’il l’avait rencontré, il avait songé qu’il aurait aimé que cela se fasse plus tôt. Il adorait sa façon d’être, et il arrivait très facilement à se lier avec elle. Il pensait de plus en plus souvent à elle, et cela le désarçonnait quelque peu. De plus, il fréquentait de moins en moins de filles. Ceci n’était pas du tout son comportement habituel et il commençait même à flipper quelque peu. Cette fille changeait son mode de vie sans même s’en rendre compte. Et il ne savait pas vraiment s’il appréciait cela ou pas. En tout cas, elle, il l’appréciait. Sûrement trop, et encore plus d’après Jazzlynn. Enfin, s’il écoutait son avis, ils seraient déjà mariés avec deux enfants. Cette fille avait toujours le don d’en faire trop.