bienvenue sur fuck l'amour mes petites licornes
vous le savez pas, mais on vous aime déjà
on sait que vous êtes de grands timides, et comme nous sommes géniales, nous avons mis en place une méga loterie trop cool. alors mireille, t'arrêtes de faire genre t'es pas intéressée, et tu te ramènes par ici si t'as envie de te faire des teupins
staff † i'm bulletproof, nothing to lose, fire away, fire away.
◭face de kiwi : ◭pseudo : lina. ◭célébrité : harryfuckingstyles. ◭crédits : (avatar) frenchadicted. ◭disponibilité rp : free. ◭double compte : none.◭statut : célibastard, mais accro à un certain petit cul. ◭job/études : étude dans le domaine cinématographiques et audiovisuelles. ◭j'ai : dix neuf ans et encore tellement de connerie à faire.◭jukebox : show me.chris brown † trumpets.jason derulo † burn.ellie goulding † dark horse.katy perry † my hitta young.jeezy † pretty eyes.alex goot † love more.chris brown † 23.mike will † chocolate.the 1975 ◭nawak box :
remember that i love you.
◭mots d'amour : 156
Sujet: j'viens squatter ton canapé. (theo) Sam 18 Jan - 3:40
j'viens squatter ton canapé.
Kenaël était le long du trottoir entourant ses bras avec ses mains pour se protéger du froid en titubant légèrement par moment. Le jeune homme avait passé sa soirée dans un bar avec des amies non loin de son quartier, après quelques verres, trouvant l'atmosphère étouffante, il avait décidé de rentrer, un peu d'air frais ne pouvait lui faire que du bien donc il avait voulu rentrer à pied. L'heure était à l'obscurité et la ville se noyait dans les lumières synthétiques. Le vacarme des fous du volant et des travaux sur bâtiments s'était essoufflé pour laisser place au bruit sourd de la vie nocturne. Heureusement son immeuble était proche, encore quelques pas et il franchit l'allée en claquant la porte d'entrée de l'immeuble le moins discrètement du monde derrière lui. Le jeune bouclé pénétra dans l'ascenseur tout en commençant à chercher la clé de la porte d’entrée dans ses poches, mais il avait beau farfouillait, aucun signe de ses clés. Résigné, Kenaël partit à la recherche de la clé de secours qu'ils mettaient habituellement à l'intérieur d'un vase, il glissa sa main dans le récipient, mais à son grand étonnement, elle ne s'y trouvait pas, il déglutit nerveusement, ça annonçait rien qui aille. Pour en rajouter à sa malchance légendaire qui lui collait à la peau depuis tout jeune, ces deux colocataires n'étaient même pas à la maison, ils avaient prévue un diner avec leurs géniteurs et il y avait de forte chance pour qu'il ne soit pas encore rentrée. Kenaël tenta tout de même la sonnette, mais après quelques minutes sans réponse, il comprit bien vite que c'était peine perdue, il fallait se rendre à l'évidence, personne n'allait venir lui ouvrir à moins que le saint esprit soit de son côté et encore. Il se laissa glisser le long de la porte en murmurant un tas d'injures incompréhensibles essayant de trouver chez qui il allait pouvoir venir squatter malgré l'heure avancé qui affichait bientôt trois heures du matin au compteur. Il se mordilla la lèvre nerveusement, pas moyen qu'il passe le reste de la mâtiné assit à même le sol derrière une porte en bois. Et sans y réfléchir deux fois, Kenaël se leva péniblement et se dirigea vers la porte d'en face, il ne voyait que ça, il y avait pas trente six solution, non plus, Théo était l'un de ses meilleurs amis et le plus proche qu'il avait sous la main. Quitte à se faire rembarrer, il devait tenté, et merde il pouvait bien faire ça pour lui et l'héberger quand des galères comme perde ces clés lui arrivait, les vraies amies, ça vous accueille à n'importe quel heure normalement. Devant la porte, Kenaël réfléchissait à la façon la moins brutal de signaler sa présence derrière la porte, toquer, c'était clairement plus discret, mais il risquait fortement de ne pas l'entendre. Il porta alors son choix sur la sonnette et s'empressa de l'utiliser avec l'immense espoir que Theo soit à la maison. Mais vu le temps que mettait la porte à s'ouvrir, Kenaël fut prit d'un doute.
j'viens squatter ton canapé. (theo)
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Kenaël était le long du trottoir entourant ses bras avec ses mains pour se protéger du froid en titubant légèrement par moment. Le jeune homme avait passé sa soirée dans un bar avec des amies non loin de son quartier, après quelques verres, trouvant l'atmosphère étouffante, il avait décidé de rentrer, un peu d'air frais ne pouvait lui faire que du bien donc il avait voulu rentrer à pied. L'heure était à l'obscurité et la ville se noyait dans les lumières synthétiques. Le vacarme des fous du volant et des travaux sur bâtiments s'était essoufflé pour laisser place au bruit sourd de la vie nocturne. Heureusement son immeuble était proche, encore quelques pas et il franchit l'allée en claquant la porte d'entrée de l'immeuble le moins discrètement du monde derrière lui. Le jeune bouclé pénétra dans l'ascenseur tout en commençant à chercher la clé de la porte d’entrée dans ses poches, mais il avait beau farfouillait, aucun signe de ses clés. Résigné, Kenaël partit à la recherche de la clé de secours qu'ils mettaient habituellement à l'intérieur d'un vase, il glissa sa main dans le récipient, mais à son grand étonnement, elle ne s'y trouvait pas, il déglutit nerveusement, ça annonçait rien qui aille. Pour en rajouter à sa malchance légendaire qui lui collait à la peau depuis tout jeune, ces deux colocataires n'étaient même pas à la maison, ils avaient prévue un diner avec leurs géniteurs et il y avait de forte chance pour qu'il ne soit pas encore rentrée. Kenaël tenta tout de même la sonnette, mais après quelques minutes sans réponse, il comprit bien vite que c'était peine perdue, il fallait se rendre à l'évidence, personne n'allait venir lui ouvrir à moins que le saint esprit soit de son côté et encore. Il se laissa glisser le long de la porte en murmurant un tas d'injures incompréhensibles essayant de trouver chez qui il allait pouvoir venir squatter malgré l'heure avancé qui affichait bientôt trois heures du matin au compteur. Il se mordilla la lèvre nerveusement, pas moyen qu'il passe le reste de la mâtiné assit à même le sol derrière une porte en bois. Et sans y réfléchir deux fois, Kenaël se leva péniblement et se dirigea vers la porte d'en face, il ne voyait que ça, il y avait pas trente six solution, non plus, Théo était l'un de ses meilleurs amis et le plus proche qu'il avait sous la main. Quitte à se faire rembarrer, il devait tenté, et merde il pouvait bien faire ça pour lui et l'héberger quand des galères comme perde ces clés lui arrivait, les vraies amies, ça vous accueille à n'importe quel heure normalement. Devant la porte, Kenaël réfléchissait à la façon la moins brutal de signaler sa présence derrière la porte, toquer, c'était clairement plus discret, mais il risquait fortement de ne pas l'entendre. Il porta alors son choix sur la sonnette et s'empressa de l'utiliser avec l'immense espoir que Theo soit à la maison. Mais vu le temps que mettait la porte à s'ouvrir, Kenaël fut prit d'un doute.