NOM ▽ Froust PRÉNOMS ▽ Banbis SURNOM(S) ▽ ma biche ÂGE ▽ 19 ans DATE DE NAISSANCE ▽ 28 janvier LIEU DE NAISSANCE ▽ Paris ORIGINES ▽ Française NATIONALITÉ ▽ Frnçaise ORIENTATION SEXUELLE ▽ hétérosexuel STATUT SOCIAL ▽ aisée STATUT CIVIL ▽ Célibataire MÉTIER ET/OU ÉTUDES ▽ Comédienne et mannequin AVATAR ▽ Cara Delevigne CRÉDITS ▽ regarde la signature (je mes sers sur bazzart en général)

QUALITÉS ▽ Vivante, réaliste, ambitieuse, obstinée, joueuse, intelligente, talentueuse, franche.
DÉFAUTS ▽ Calculatrice, manipulatrice, froide, insensible, sans limite, imbue de ma personne, sarcastique, méprisante.

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→ en soirée, quand vous trouvez quelqu'un à votre goût, quelle est la première chose à laquelle vous pensez ?
« il est sex / elle est bonne. » « hé madame ! avec tes yeux de biche, j'ai envie de t'appeler Bambi ! » « il / elle ressemble à mon père / ma mère. »

→ votre moitié vous dit je t'aime pour la première fois, quelle est votre réaction ?
je lui montre la sortie. je me mets à pleurer et je la demande en mariage. j'explose de rire.

→ vous avez passé la nuit en très charmate compagnie et vous vous réveillez à ses côtés.
je le / la fous dehors vite fait sans même lui laisser le temps de se rhabiller. je le / la regarde dormir. après tout, il / elle est trop mignon / ne comme ça. je lui vole ses sous-vêtements pour qu'il / elle passe quelques minutes de plus avec moi.

→ vous venez de vous faire plaquer, comment réagissez-vous ?
impossible, je le fais toujours avant. je pleure toutes les larmes de mon corps. j'appelle ma mère pour lui dire de préparer ses fameux cookies "spécial chagrin".

→ pour vous, les contes de fée, ça représente quoi ?
je préfère les adaptations où le prince a piqué ses fringues à la princesse. la vie parfaite. en plus, les oiseaux font le ménage. la seule personne qui a le droit de m'en lire, c'est ma mère, avant que j'aille me coucher.

PSEUDO/PRÉNOM ▽ La girafe ÂGE ▽ 20 ans mais j'ai arrêté de compter à 15 SEXE ▽ j'ai 3 zizi et un vagin donc je suis une fille PLANÈTE/PAYS/RÉGION ▽ terre, France, océan indien LES LICORNES, TU AIMES ? ▽ J'adore ma fille c'est la plus belle des princesse licorne T'AS PAS ENVIE D'ÊTRE UN PANDA, TOI ? ▽ Naann! Je préfère leur faire des câlins et jouer avec leur bamboux TU NOUS AS CONNU COMMENT ? ▽ Sage ON EST BAISABLE OU PAS ? ▽   Violez moi! Violez moi! Je vous veux!! UNE PROPOSITION OU SUGGESTION A NOUS FAIRE ? ▽ Je vous propose mon temps et je vous suggère de le consommer sans modération UN DERNIER TRUC A DIRE POUR TA DÉFENSE ? ▽ Je suis dysorthographique m'dame... Heu crotte c'est pas ça... JE VOUS AIME

Code:

<pris>CARA DELEVIGNE ɷ</pris> banbi m. froust

« Froust tu vas pas t’enfuir comme ça… Ce n’est pas de l’argent que je vais te demander ! » Le jeune homme faisais des tours dans le bureau de la directrice du musée. Il se sentait comme ce lion qu’il avait vu en cage quand il avait 5 ans. S’il avait su ce que c’était que d’être pris au piège il n’aurait pas pris autant de plaisir à le voir comme ça il n’aurait pas pris de plaisir non plus quand il c’était fait cette femme plus mure, cette femme qui avait les moyens de lui assurer un avenir sans contrainte, mais il n’avait pas pu s’en empêché il l’avait engrossé’ en beauté… Il venait d’avoir 20 ans et elle avait déjà entamé sa trentième année quand je vis le jour 5 mois après leur dispute dans son bureau au musée. Aucun d’eux ne s’attendais à ce que leur petit câlin les conduise à une vie de couple. Ils se sont mariés par contrainte un peu avant ma naissance et puis mon père à continuer ses études de médecine. Au début ils n’avaient pas beaucoup de temps à me consacrer faute de trop de travails et puis dans un sens ils n’assumaient pas vraiment le fait que j’étais leur enfant.
« Tu sais bien que si je reste avec elle c’est pour Banbis… » Il n’avait pas fini sa phrase que sa maitresse lui lança un vase qu’il évita de justesse. Il avait l’habitude de ses crises de nerfs depuis qu’il l’avait engagé comme nounou pour moi. « J’en peu plus de vous voir ensemble ! ». J’aimais bien Margarèthe, elle était belle et gentille, elle s’occupait de moi… Elle est resté jusqu’à mes 5 ans, jusqu’à ce que mon père se trouve une nouvelle poule, celle la travaillait à l’hôpital avec lui. C’est elle qui est partie parce qu’elle ne l’aimait pas suffisamment pour être considéré comme un joué… Elle avait compris comme ma mère que mon père s’en foutait bien de l’amour, lui tout ce qu’il voulait c’était prendre son pied. Je l’ai compris à mes 7 ans quand je l’ai vue embrasser ma prof de théâtre comme il embrassait ma mère parfois.
Papa est moi on est devenue très complice avec le temps. « Tu sais ma bichette les garçons ils t’apporteront jamais rien de bien… Tout ce qu’il veule c’est un peu de cette amour que tu donnes à ton papa mais ça y faut pas leur donner. » Je lui avais fait un beau sourire avant de lui demander du haut de mes 8 ans « Y a que moi que tu aimes mon papa ? »… Je suis bien la seule personne qu’il ait jamais vraiment aimé et il est la seule personne que j’aimerais vraiment. C’était comme une sorte de pacte entre nous, dans mon petit cœur froid il n’y avait de la place que pour mon père, ma mère et le théâtre.
« Tu vois ça, ma biche, c’est une copie d’un Picasso. Tu sais comment il s’appelle ? » J’avais fait non de la tête. Pour le grand malheur de ma mère je ne m’intéressais pas à cet art qui la passionnait tant « La peinture c’est mort, ça bouge pas et ça sent pas bon ! » Lui avais-je hurlé un jour après avoir passé une journée dans les couloirs du musée… Je ne trouvais aucun intérêt à la peinture parce que je préféré les arts vivants,  les arts du spectacle. « Elle a beaucoup de talent, si elle continue comme ça elle pourra devenir une grande comédienne un jour. » J’avais 11 ans lors de mon premier vrai spectacle et c’est ce qu’avait dit le réalisateur après notre première représentation. J’étais très fier de moi bien qu’il ne s’agissait que d’un petit rôle insignifiant mais c’était ma première fois devant un vrais publique et qui plus ai avec une vraie troupe.

« Je le fais juste parce que c’est toi. » Sage avait le don de me faire plier et ceux depuis la maternelle. On avait un peu grandi ensemble, des filles parfaites et de bonnes familles. On était amies parce qu’on n’avait aucune raison de ne pas l’être. J’avais accepté de l’accompagné à une séance photo. Jouer les poupées devant un appareille et me retrouver sur du papier glacé c’est pas vraiment mon truc mais elle m’avait convaincu. D’une certaine manière elle m’a lancé un nouveau défis et m’as fait découvrir un monde où les gens sont froid et dur. J’admirais ses hommes sans cœur qui ne pensais qu’à l’image et à vendre un produit en manipulant les gens. Je n’avais qu’une envie après qu’elle mes initié au monde du mannequinat, je voulais être admiré et désiré par ses hommes et puis par le monde entier.
« Tu à quel âge ? » M’avais demandé le directeur marketing qui venais voir comment ce passais ma première séance photo pour leur société. « 15 ans… » Il avait tout simplement approuvé d’un signe de tête. Il était froid, indifférent, au-dessus de tout. J’avais eu un bref moment d’admiration jusqu’à ce que l’arrivé du mec qui allais poser avec moi. Attirant, non mignon mais un peu trop collant. Le genre de mec à croire qu’il peut tout avoir parce qu’il a une gueule d’ange et le corps qui vas avec. Au début ça aller mais après il à commencer à croire que mes sourire mielleux et les regards en coin que je lui lançais sous les flashes étaient vrais. Son premier réflexe lors de notre courte pose avait été de venir m’aborder. Il ne s’attendait pas à ce que je lui avais répondu : « C’est lui que je veux, toi t’es qu’un accessoire, un jouet ! » Je m’étais montrée franche et directe, celui que je voulais c’était le directeur markéting. Il devait avoir l’âge de mon père voir un peu plus mais ça ne me déranger pas.
« T’es qu’une chienne Banbis ! » ça l’énervé que je sois aussi froide et indifférente. Lui est moi c’était professionnel, je visais toujours le haut du gratin et quand je ne l’obtenais pas c’est sur lui que j’évacuais ma frustrations et contrairement aux autres je ne prenais pas de gant pour flatter son égo. Je prenais mon pied mais une fois que c’était fini je redevenais une salope insensible… Nos rapports avaient bien évolués après deux ans. On jouait un peu au chat et à la sourie, on avait plus rien de ses gamins qui c’était rencontrer lors d’une séance photo. « Ta gueule ! T’as pris ton pied ? T’es content ? Tu savais depuis le début que y aurais jamais rien de plus entre nous, on baise et puis c’est tout ! » C’était toujours comme ça entre nous, on s’amusait et puis on se disputer comme des enfants pour pas grand-chose.
« Beaucoup d’évènement m’ont permis de forger mon caractère mais c’est toujours moi qui ai décidé de devenir celle que je suis aujourd’hui… Ma vie est un peu comme un théâtre de pantin et c’est moi qui tire les ficelles » Le sourire de l’homme s’étira, ses yeux ne me quittaient, comme à son habitude il pense que je suis sa poupée, il pense qu’il me contrôle mais non c’est moi qui suis le maître.
« Tu peux y aller, de toute façon elle a besoin de quelqu’un pour la surveiller… » La mère de Sage ne pouvait pas me refuser ce petit voyage. Sage n’était qu’une excuse comme une autre même si la vie à Paris était moins amusante sans elle, j’y serais allé même son accord, travailler pour élite me donner juste l’avantage d’occuper mon temps libre. Et puis en ce qui concerne la débuche de ma meilleure amie je l’avais plus ou moins provoqué... Quoi qu'il en soit me voilà a destination prête à relever de nouveaux défis.

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