NOM ▽ cosmo comme cosmopolitan sans le -politan. PRÉNOMS ▽ manoa-maxyne. oui oui j'étais destinée à me prendre des mines de crayons de couleurs et des bouts de gommes didl et didlina toute ma vie pendant la récréation mais heureusement pour moi je suis cool, même à 5 ans, c'est ça la pure classe. SURNOM(S) ▽ maxxie, c'est d'ailleurs le plus fréquent, tellement fréquent que je ne me présente plus que comme ça parce que c'est plus kiffant que manoa-maxyne. ÂGE ▽ bientôt 20 ans, la ménopause et les culottes de grand-mère sadness. DATE DE NAISSANCE ▽ 24 septembre. LIEU DE NAISSANCE ▽ lisbonne, portugal. ORIGINES ▽ américaine et écossaise. NATIONALITÉ ▽ portugaise. ORIENTATION SEXUELLE ▽ non déterminée. STATUT SOCIAL ▽ ni riche, ni pauvre, un jour je mange des pattes, le lendemain des épinards à la crème c'est la vie. STATUT CIVIL ▽ célibataire endurcie à la libido au niveau -8000 mais je le vis plutôt bien. MÉTIER ET/OU ÉTUDES ▽ glandeuse professionnelle avec des rêves plein la tête, en attendant de devenir une skateuse pro je fais la grasse matinée, jalousez moi, enfin si on oublie le fait que je travaille dans un bar glauque. AVATAR ▽ la magnifique danielle campbell CRÉDITS ▽ weheartit.

QUALITÉS ▽ drôle + créative + fonceuse + facile à vivre + bagarreuse
DÉFAUTS ▽ impatiente + immature + irresponsable + je-m'en-foutiste + idéaliste

(pour cocher une case, ajouter checked après value="a" )
→ en soirée, quand vous trouvez quelqu'un à votre goût, quelle est la première chose à laquelle vous pensez ?
« il est sex / elle est bonne. » « hé madame ! avec tes yeux de biche, j'ai envie de t'appeler Bambi ! » « il / elle ressemble à mon père / ma mère. »

→ votre moitié vous dit je t'aime pour la première fois, quelle est votre réaction ?
je lui montre la sortie. je me mets à pleurer et je la demande en mariage. j'explose de rire.

→ vous avez passé la nuit en très charmante compagnie et vous vous réveillez à ses côtés.
je le / la fous dehors vite fait sans même lui laisser le temps de se rhabiller. je le / la regarde dormir. après tout, il / elle est trop mignon / ne comme ça. je lui vole ses sous-vêtements pour qu'il / elle passe quelques minutes de plus avec moi.

→ vous venez de vous faire plaquer, comment réagissez-vous ?
impossible, je le fais toujours avant. je pleure toutes les larmes de mon corps. j'appelle ma mère pour lui dire de préparer ses fameux cookies "spécial chagrin".

→ pour vous, les contes de fée, ça représente quoi ?
je préfère les adaptations où le prince a piqué ses fringues à la princesse. la vie parfaite. en plus, les oiseaux font le ménage. la seule personne qui a le droit de m'en lire, c'est ma mère, avant que j'aille me coucher.

PSEUDO/PRÉNOM ▽ LIONESS aka la mordeuse de fesses aka Noémie aka la magnifique.   ou pas. ÂGE ▽ 19 ans, la déprime    SEXE ▽ j'attendais que tu me le demande    je suis une fille, j'ai vérifié. PLANÈTE/PAYS/RÉGION ▽ on me demande souvent de quelle planète je viens..... j'comprends pas pourquoi   représente Lyon, le 69 aight. LES LICORNES, TU AIMES ? ▽ j'adore les cornes, vive les licornes qui font des cacas papillons    T'AS PAS ENVIE D'ÊTRE UN PANDA, TOI ? ▽ naon, le bambou ça fait chier trop souvent, c'est chaud.    TU NOUS AS CONNU COMMENT ? ▽ le pur hasard. ON EST BAISABLE OU PAS ? ▽ je ne suis pas une fille facile, charmez moi bande de gueux.    UNE PROPOSITION OU SUGGESTION A NOUS FAIRE ? ▽ une partouze peut-être ? comme ça pas de jaloux. -> UN DERNIER TRUC A DIRE POUR TA DÉFENSE ? ▽ je suis innocente m'dame la juge.   

Code:

<pris>DANIELLE CAMPBELL ɷ</pris> m. "maxxie" cosmo

MAMAAAAAAAAAN BELZEBUTE IL A PLUS DE POILS. J'étais en train de pleurer, montrant le chat du doigt. Oui Belzebute est un chat. Ne me demandez pas pourquoi ce nom mais j'étais contre, moi je voulais qu'il s'appelle Caramel, Chocolat ou Vanille, des prénoms trop swag quoi mais non ma mère avait choisi Belzebute. Pauvre chat dès son adoption il avait été destiné à être au centre de toutes les moqueries. Il faut pas croire mais les chats sont cruels entre eux. Bref, mon chat ressemblait à un rat et je pleurais toutes les larmes de mon corps parce que même si Belzebute était un gros matou qui voulait jamais me faire de câlins je l'aimais. Pauvre Belzebute. Mais non Maxyne, je viens de le laver. Je séchais mes larmes de crocodile et je reniflais en regardant mon chat de travers. Mais mais mais il est trop moche, je l'aime plus. Au moins ça a le mérite d'être clair. Enfin je mentais, une fois qu'il était sec je me suis mise à re-aimer ce gros matou. Je vous raconte même pas quand il est mort, le drame de ma vie. Ma mère avait creusé une tombe dans le jardin pour mettre sa dépouille avec une petite croix improvisée avec deux petits bouts de bois et de la ficelle. Cette tombe était faite pour que j'aille me recueillir et parler à mon chat, mais quand je lui parlais de toute manière il comprenait rien. Parfois je lui parlais quand il faisait caca dans le lavabo je lui disais que c'était pas bien et que le caca c'était dans sa litière.... mais ça ne l'empêchait pas de se rebeller et de faire sa crise d'adolescence féline. Enfin bref, j'étais une enfant et quand on est enfant on est un peu bizarre, on a beaucoup trop d'imagination et le pire de tout c'est qu'on fait tous les mêmes choses comme par exemple regarder deux gouttes d'eau glisser sur une fenêtre faire la course lors d'une journée de pluie. Je suis sûre que je ne suis pas la seule à avoir fait ça. C'est comme jouer au Sims, c'est incontournable.  

MANOA-MAXYNE REVIENT ICI IMMÉDIATEMENT. Ce genre de phrase ça pu mais alors là ça pu vraiment fort à 64347343 km. Je faisais donc demi-tour revenant sur mes pas pour faire face à ma mère, un petit sourire innocent sur les lèvres et les mains derrière le dos. T'aurais pas oublié quelque chose par hasard ? Je regardais autour de moi, me demandant ce que j'avais bien pu oublier. Mon cartable ? Non il était sur mon dos. Mes chaussettes ? Non je voyais les petits volants rose pâle de mes chaussettes qui me donnait envie de vomir. Faire un bisou à môman ? Non, je pensais l'avoir fait. J'haussais donc les épaules, toujours en gardant mon petit sourire innocent, donnant l'impression d'être sage comme une image. TE LAVER !!!!! Je fis les gros yeux, la voix de ma mère venant de me détruire les oreilles. NON PAS LA DOUCHE. Mon visage se décomposait et quelques secondes après je pris la fuite avant que ma mère ne m'attrape, ce qu'elle finit par faire. Tricheuse. NOOON je suis allergique au savon tu te souviens pas ?! Je criais pour que ma mère me lâche. Pourquoi un tel caprice ? Parce que comme tous les garçons de mon âge (même si je suis une fille) détestaient se laver, c'est un signe de virilité. Oui oui même à 12 ans, pas de discrimination. Déjà à cet âge je ressemblais à un garçon, pas physiquement parlant puisque j'avais les cheveux longs, de grands yeux bleu et un joli petit minois, ma mère m'habillait avec des petites robes de couleur pâle et des petites chaussures de petite fille, tout ce que je détestais. Arrête tes bêtises et va te doucher, tu sortiras pas avec les cheveux gras. La moue boudeuse sur mon visage exprimait mon état d'esprit. Je m'en foutais royalement de sortir avec les cheveux sales ou pas brossés, je m'en foutais de sortir sans être jolie. C'est là que j'ai commencé à creuser ma différence, même si ce jour-là j'ai cédé et je me suis lavée.

Oh la lesbienne ! Je sentis un coup dans mon dos en même temps que la voix cristalline de cette pute de Janice, attendez non excusez moi de ""Jay-niss"" (son pseudo sur youtube), traverser mes oreilles. Sa voix me donnait des envies de meurtre mais mon caractère calme me permettait de pouvoir supporter ses conneries à longueur de journée. Elle et sa petite bande de pétasse m'appelaient "la lesbienne" parce que je m'habillais comme un garçon, je parlais comme un garçon, je ne traînais plus qu'avec des garçons et on m'avait accepté comme tel. Elles m'appelaient "la lesbienne" surtout parce que j'étais différente d'elles, parce que oui quand on ne porte pas des talons de 15 cm et des décolletés jusqu'au nombril, alors qu'elles étaient plates comme des planches à pain, on est forcément lesbienne. C'est la mentalité du collège et c'est pour cela que je n'aimais pas ces filles. J'ai entendu dire qu'avec Jaymi vous vous échangiez vos petites copines. Autant te dire que je ne suis pas du tout intéressé par toi. Les deux filles derrière elle ricanaient à la remarque de Janice avant de se taper dans les mains. Oui Janice était la nouvelle petite copine de Jaymi, mon meilleur ami, il faut dire que Jaymi était du genre à sortir avec tout et n'importe quoi donc je n'étais pas très étonnée. Tant mieux, comme ça j'aurais pas à te brouter le minou. J'avoue que je ne savais pas ce que ça voulait dire mais je l'avais déjà entendu quelque part. Je prenais toutes ces remarques à la rigolade, en rajoutant une couche pour pouvoir fermer le clapet de Janice. A la base Janice était une de mes meilleures copines d'école primaire, on se connaissait depuis toujours, on avait grandi dans le même quartier à deux maisons l'une de l'autre et ça aurait pu être le début d'une grande et longue amitié mais on est devenue trop différente, elle était la fille superficielle de l'école et moi j'étais le garçon manqué et elle me détestait parce qu'on était toutes les deux les filles les plus populaires du collège. J'avais énormément d'amis étant la fille qui se prenait moins la tête et Janice était la fille la plus belle de tout l'établissement. Deux raisons différentes, deux filles différentes et pourtant dans sa tête c'était la guerre comme si elle se sentait en danger alors que contrairement à elle, je ne cherchais pas du tout à me faire remarquer. C'est dommage.

Jaymiiiiii, réveille toi, j'ai des croissants. J'utilisais une voix sensuelle, approchant ma bouche de son oreille afin de réveiller monsieur le ronfleur de la manière la plus sympathique du monde. Enfin c'était surtout pour l'embêter, lui faire croire qu'il avait terminé sa soirée avec une fille chose qui se faisait beaucoup entre potes. Il ouvrait les yeux me regardant et je pouvais percevoir la déception dans ses yeux. J'éclatais de rire. Fait pas cette tête-là, lève toi on va faire du skate. Je regardais le garçon, tournant en rond dans sa chambre pour lui trouver ses fringues qui traînaient sur le sol avant de lui les lancer sur la tronche. Avant je veux bien un croissant. Je tournais le regard vers le garçon avant de sourire de pleine dents, me retenant d'exploser de rire à nouveau. Ok paie ton croissant, t'ira nous en acheter un sur le chemin. Dépêche on va être en retard pour la compét'. La compétition de skate de mon quartier, je ne la manquerait pour rien au monde. J'ai toujours fait du skate et j'en ferais toujours parce que c'est ma passion tout simplement. La compétition était aussi toute ma vie, l'envie de gagner l'adrénaline, le stress tous ces sentiments font que j'aime combattre, comme tous mes adversaires, qui sont pour la plupart des garçons. JAYMI PUTAIN ! Dépêche toi c'est pas la bas que tu vas trouver la meuf de ta vie, j'te rappelle qu'on va skater. Jaymi, comme depuis quelques mois, prenait énormément de temps pour se préparer dans la salle de bain, une vraie meuf. On pourrait même dire que les rôles étaient échangés entre lui et moi. J'étais impatiente, cette compétition n'était pas une compétition banale, c'était les meilleurs skateurs d'Europe qui se retrouvaient à Lisbonne pour se mesurer aux autres. J'avais été sélectionné ainsi que Jaymi. Pour les parents de Jaymi c'était une fierté d'avoir un fils qui suivait ses rêves et qui était aussi doué même s'il avait arrêté le lycée par manque d'envie alors que pour mes parents c'était une grosse déception. Ils auraient préféré que je passe mon diplôme, que j'obtienne une mention pour assurer mon avenir parce que pour eux rien n'est plus important que le blé. Heureusement pour moi à 16 ans je ne me souciais guère de ce qu'ils pouvaient penser et j'irais à la compétition parce que je sais que j'ai un don, j'ai ça dans le sang.

Tu n'iras pas en Nouvelle-Zélande un point c'est tout. Je serrais les dents, enfonçant mon poing dans le mur fragile de la cuisine y laissant une trace. Ce genre de comportement ne me ressemblait absolument pas, je n'ai jamais été violente mais la colère venait d'envahir mon cerveau, j'avais tout simplement besoin d'exprimer cette haine que j'avais envers mes parents à cet instant présent. Tu nous as menti Manoa, tu es allée à cette compétition de skate alors qu'on t'avait formellement interdit d'y aller. Je serrais une nouvelle fois les dents. J'avais gagné cette foutue compétition, la première place, une fille devant tous ces mecs, mais putain pourquoi ils n'étaient pas fier de moi ? Pourquoi ils n'étaient pas comme les parents de Jaymi ? C'est Maxxie. Ma mère roulait les yeux au ciel, elle n'acceptait pas le fait que sa petite fille qu'elle adorait chouchouter était devenue grande et trop masculine. Elle ne savait pas comment me faire changer, me faire revenir à la raison, mais je pense que c'est surtout parce qu'elle croyait cette connasse de Janice quand elle criait haut et fort que je n'étais qu'une lesbienne. Tu es punie jusqu'à la fin de l'année MANOA-MAXYNE et tu vas retourner à l'école lundi, je refuse que t'arrête tes études. Je filais dans ma chambre avec des envies de fugue. Je voulais vivre avec des parents qui avaient un minimum confiance en moi, des parents qui avaient ce que les miens n'avaient pas. C'est comme ça que j'ai décidé de partir en Nouvelle-Zélande dans la nuit, une petite valise sous le bras sans prévenir mes parents. Enfin j'avais quand même écrit un mort qu'ils trouveront quand ils se réveilleront pour ne pas les paniquer. A l'instant où j'étais dans l'avion, c'était comme si ce n'était plus moi, plus la Maxxie trop cool du lycée mais aujourd'hui je ne regrette pas mon choix même si j'en ai subi les conséquences. C'est la deuxième fois que tu nous fais un coup comme ça Manoa. Tu es en Nouvelle-Zélande, très bien tu vas aller dans un pensionnat et tu ne reviendras pas en Europe tant que tu n'auras pas ton diplôme. Et surtout ne compte plus sur nous pour te donner de l'argent tu vas te démerder. Un jour tu nous remercieras. Puis elle raccrocha le téléphone sans que je ne puisse dire le moindre mot. Notre relation devenait trop tendue, c'était surement à cause de l'adolescence, cette période de la vie qui éloigne les parents de leurs enfants. J'aurais pu contester et ne jamais aller dans ce pensionnat près de Christchurch, mais de savoir que j'avais déçu mes parents me faisaient culpabiliser à mort. J'ai donc passé une année dans ce pensionnat pourri devant rendre des comptes à mes parents qui me téléphonaient tous les jours pour connaître mon emploi du temps dans les détails. J'ai commencé à bosser avant d'arrêter l'école à 18 ans sans avoir mon diplôme. Une nouvelle déception qui a mis fin à nos relations qui étaient déjà trop compliqués, ils ont tout simplement décidé de me couper les vivres. C'est comme ça que j'ai repris le skate, le seul et unique amour de ma vie (pour de vrai) et que j'ai commencé à travailler dans un bar le soir pour avoir un salaire afin de payer toutes les bricoles dont j'ai besoin pour améliorer mes performances de skateuse, et aussi éventuellement pour payer mon loyer.

Maxxie ne connait pas l'amour, elle ne sait même pas ce que ce mot signifie et ça personne ne le sait. Les seules personnes qu'elle n'a jamais aimé sont ses parents même si ils ne veulent plus attendre parler d'elle tant qu'elle n'aurait pas changé de comportement, Jaymi son meilleur ami depuis toujours mais surtout son skate. Donc par logique elle est vierge, elle n'a jamais embrassé de garçons, ni de filles c'est pour cela qu'elle ne se situe pas dans une case concernant son orientation sexuelle et elle est gênée quand elle pense à ça c'est pour cela qu'elle n'en parle que très rarement. Elle se comporte comme un garçon même si une partie féminine est restée au fond d'elle, elle travaille même dans un bar où les serveuses ne sont que des filles entre 18 et 23 ans dans lequel le dress code est d'être vêtue d'une robe plutôt courte ou d'une tenue moulante pour faire consommer les hommes qui viennent très souvent, hommes qu'elle doit escorter une partie de la soirée. En réalité elle déteste cet emploi, mais sans qualifications elle n'a pas trop le choix et continue de travailler dans ce bar glauque puisque celui-ci paie plutôt bien. Elle essaie de reconquérir l'amour de ses parents pour pouvoir avoir des contacts avec sa petite soeur qui est loin d'elle. Elle vit sa vie du mieux qu'elle peut même si elle comprend bien qu'elle a tout foutu en l'air mais elle ne peut se résoudre d'arrêter le skate.