NOM ▽ Lannister PRÉNOMS ▽ Lennox SURNOM(S) ▽ Nox ÂGE ▽ Trente ans DATE DE NAISSANCE ▽ Seize Juin 1984 LIEU DE NAISSANCE ▽ Christchurch, Nouvelle-Zélande ORIGINES ▽ Irlandaises NATIONALITÉ ▽ Néo-Zélandaise ORIENTATION SEXUELLE ▽ Hétérosexuel STATUT SOCIAL ▽ Aisé STATUT CIVIL ▽ Marié mais séparé de sa femme, père célibataire MÉTIER ET/OU ÉTUDES ▽ Directeur d'un journal AVATAR ▽ Michael Fassbender CRÉDITS ▽ gif-huntress@tumblr

QUALITÉS ▽ loyal ~ attentionné ~ travailleur ~ attentif ~ calme ~ généreux ~ ambitieux ~ serviable
DÉFAUTS ▽ jaloux ~ perfectionniste ~ lunatique ~ possessif ~ têtu ~ individualiste ~ autoritaire

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→ en soirée, quand vous trouvez quelqu'un à votre goût, quelle est la première chose à laquelle vous pensez ?
« il est sex / elle est bonne. » « hé madame ! avec tes yeux de biche, j'ai envie de t'appeler Bambi ! » « il / elle ressemble à mon père / ma mère. »

→ votre moitié vous dit je t'aime pour la première fois, quelle est votre réaction ?
je lui montre la sortie. je me mets à pleurer et je la demande en mariage. j'explose de rire.

→ vous avez passé la nuit en très charmate compagnie et vous vous réveillez à ses côtés.
je le / la fous dehors vite fait sans même lui laisser le temps de se rhabiller. je le / la regarde dormir. après tout, il / elle est trop mignon / ne comme ça. je lui vole ses sous-vêtements pour qu'il / elle passe quelques minutes de plus avec moi.

→ vous venez de vous faire plaquer, comment réagissez-vous ?
impossible, je le fais toujours avant. je pleure toutes les larmes de mon corps. j'appelle ma mère pour lui dire de préparer ses fameux cookies "spécial chagrin".

→ pour vous, les contes de fée, ça représente quoi ?
je préfère les adaptations où le prince a piqué ses fringues à la princesse. la vie parfaite. en plus, les oiseaux font le ménage. la seule personne qui a le droit de m'en lire, c'est ma mère, avant que j'aille me coucher.

PSEUDO/PRÉNOM ▽ paperdolls ÂGE ▽ vingt ans SEXE ▽ fémini  LES LICORNES, TU AIMES ? ▽ j'en ai une collection T'AS PAS ENVIE D'ÊTRE UN PANDA, TOI ? ▽ JE SUIS DÉJÀ UN PANDA *croque un morceau de bambou/ TU NOUS AS CONNU COMMENT ? ▽ bazzart ON EST BAISABLE OU PAS ? ▽ vous êtes bonnes oui UNE PROPOSITION OU SUGGESTION A NOUS FAIRE ? ▽ not yet UN DERNIER TRUC A DIRE POUR TA DÉFENSE ? ▽ je suis coupable sur toute la ligne

Code:

<pris>MICHAEL FASSBENDER ɷ</pris> lennox lannister

« Y a quelqu'uuuun? » Criais-je en refermant la porte de la maison familiale. Posant ma valise sur le sol, je m’approchai de l'escalier pour déceler une présence. Le bruit de pas précipités se fit entendre, et je voyais ma mère le sourire aux lèvres jeter ses bras autour de moi et m'enlacer. « Oh mon grand tu m'as manqué. » Le sentiment était partagé, a vrai dire malgré que cela faisait trois ans que je vivais seul a Belfast pour mes études, je ne m'étais toujours pas habitué a cette indépendance. Probablement une conséquence au fait d'avoir toujours vécu entouré dans une famille nombreuse. On était assez soudée et unie. Ma mère, jeune femme au foyer aux origines irlandaises, s'était dévouée après plusieurs années de service en tant qu’institutrice dans une école privée à notre éducation. Issue d'une famille juive quelque peu conservatrice (elle ne l'était pas pour autant), elle cherchait toujours a nous incorporer quelques principes de la vie qu'elle trouvait indispensables. A coté mon père était maire de la ville, qui surveillait de près nos moindre faits et gestes juste pour donner le change et conserver sa réputation, un peu moins présent dans nos vies, il comblait ce vide lorsqu'il n'était pas de service, ayant toujours la bonne réplique pour nous dire qu’on était pas assez ceci et assez cela. J'eu la chance de profiter de mes parents tout seul, avant que le reste de Phoebe, ma petite sœur arrive au monde onze ans plus tard. « Ton père est allé jouer au golf avec Mr. Pritchett, on se retrouve pour le déjeuner? Je suis contente que tu sois là. » Ma mère avait finalement fini par me lâcher, et passant légèrement sa main sur ma joue. Je lui adressai un sourire avant de monter m'installer dans ma vieille chambre. Les premiers jours étaient assez agréables, tout l'ambiance familiale m'avait manqué, mon quartier et mes amis d'ici surtout. J'eus l'occasion d'en croiser quelqu'un pour un café, le temps de nous remémorer nos vieux souvenirs de lycée. J'avais également eu l'occasion de revoir mon meilleur ami de l'époque, et sa charmante petite amie Sybil. J'avais eu du mal à accepter ce couple au début, ne trouvant pas un terrain d'entente avec Sybil. Au fil du temps j'appris, a apprécier Sybil, voyant qu'elle s’attachait réellement a mon ami. Une certaine complicité s'installa, et elle savait qu'elle pouvait compter sur moi. Et cette nuit, en descendant de ma chambre pour aller vers la cuisine, je remarquai sa silhouette sur le seuil de ma porte. Alors qu'elle rebroussait chemin, sans avoir frappé ou sonné. Je me dirigeai alors vers la porte, une fois ouverte je lançai un faible 'Sybil' n'étant pas complètement sur de son identité. La silhouette se figea et cette fois j’étais sur que c'était elle. « Sybil, qu'est-ce que tu fais là à cette heure ? »Lançais-je calmement alors que la jeune femme se retournait pour me faire face mais restant silencieuse. Quelque chose clochait et je le sentais. « Sybil ça va? » Et c'est a cet instant, qu'elle se laissa tomber dans mes bras, laissant ses larmes lui monter. Je ne pouvais que l'entourer de mes bras, espérant qu'elle puisse y trouver l'once d'un réconfort. Je la fis entrer, puis la fit monter dans ma chambre la laissant s'installer sur mon lit. « Il m'a trompée Lennox. » Finit-elle par lâcher, en baissant le regard vers le sol. Je j’accrochai mon regard sur elle, éprouvant étrangement un certain dégoût vers mon meilleur ami. Et ce qui me surpris encore plus, c'est a quel point son état m'affectait autant. Tout le monde la croit forte, solide et bien dans sa tête, mais cette image, c'est juste pour donner le change. La vérité, c'est qu'elle est vulnérable, désarmée. Et c'est a lui qu'elle a choisit de montrer cette facette secrète qu'elle cachait. « J'aime pas te voir pleurer... » Dis-je en murmurant, je mis sa main sur la sienne prenant place a coté d'elle. Elle s'approcha doucement, posa sa main au creux de mon coup et avec la lenteur d'une caresse, déposa un baiser sur mes lèvres. Sa bouche était fraîche et sucrée. Je frissonnais sous l'effet de la surprise et marquai un imperceptible recul. Puis je sentis mon coeur s'emballer, réveillant en moi des sentiments éteints depuis longtemps. Et si au début , ce baiser inattendu semblait m'avoir été extorqué, je n'avais à présent plus aucune envie de le rompre. C'était un baiser caressant qui

« Lennox ... je suis enceinte. » Au début je n'ai vraiment pas sur comment le prendre, cela faisait un peu mois d'un an que je sortais avec Sybil. J'étais très heureux dans notre relation, mais on était jeunes et tout allait très rapidement pour nous. On décida de garder l'enfant se sentant capables de gérer un enfant. Sybil du abandonner ses études, qu'elle pensait reprendre après, elle ne 'a jamais fait. J’enchaînais les petits boulots et poursuivait mes études a coté. Je devais travailler car on avait emménagé ensemble dans un petit appartement en ville, acheter tout ce dont le bébé nécessitera. J'étais terrifié a l'idée d’être père et tellement excité et impatient, en même temps. Je ne tardai pas a demander Sybil en mSybilge, car tout cela était évident pour moi: je l'aimais et elle portait notre enfant. Je n'avais pas envie que l'enfant naisse sans qu'ont soit mariés. Ce fut un petit mSybilge ou nos deux familles et quelques amis proches sont venus. Le ventre d'Sybil s'arrondissait petit a petit, et pendant les neuf mois de sa grossesse on était entraînés dans une routine. Je ne faisais que travailler ou étudier, et Sybil s'occupait des préparatifs pour l'arrivée du bébé. Je me rappellerai toujours de la naissance de notre petite fille, la panique et la peur qui l'avaient submergé, puis le bonheur de voir votre premier enfant venir au monde. Ma famille fut assez présente, a me soutenir quelque soient les choix que j'avais fait, et je dois admettre que ce fut d'une grande aide pour continuer. Je terminai mes études en journalisme et occupa rapidement un poste dans une chaine télévisée avant de pouvoir fonder mon propre journal, deux ans après la naissance de notre fille. Sybil qui voulait se remettre a une vie active, avait plus de mal que moi. Sans diplôme et ayant arrêté sa carrière de danseuse de ballet a cause de la grossesse, elle s'est vite rendue compte que cela n'allait pas marcher. J'essayais d’être la pour elle, de la soutenir comme je le pouvais. Et le jour ou elle abandonna, jour que je redoutais terriblement, elle m'annoncé qu'elle avait besoin d'espace de se retrouver et de se vider l'esprit loin de moi et de sa fille. Je fus assez dérouté par ses propos, au point que je n'eus pas d'arguments pour la faire rester. Je le faisais aussi surtout pour notre fille, je n'avais pas envie qu'elle se retrouve abandonnée a quatre ans par sa mère. Et c'est ce qui arriva, je me sentais tout aussi perdu que ma fille, je redoutais ce jour et je m'y attendais un peu. Et au fils des mois, je devais apprendre a gérer cette absence au quotidien, les questions du genre « Papa, est ce que tu penses que maman reviendra un jour? » n'en finissaient pas. J'essayais juste de faire de mon mieux tout en assurant a mon boulot. Ayant été promu, et jouissant d'un salaire un peu plus élevé vu que j’étais à présent à la tete de mon propre journal, je décidai qu'il était temps de changer de décor. Trop de souvenirs collaient a ses murs, et on avait besoin d'un départ a zéro, j'en avais surtout besoin. On opta pour un maison spacieuse, en banlieue, qui plaisait énormément a ma fille lors des visites de maisons qu'on a faites. A présent, j'ai trouvé un certain équilibre entre ma vie de père célibataire et mon travail, en étant toujours sans nouvelles d'Sybil. Je n'avais peu d'informations a son sujet, et c'était peu être plus simple de gérer tout cela. Ma fille et ma soeur ont souvent tenté de me persuader de sortir, de rencontrer de nouvelles femmes avec un petit espoir d'avoir un semblant de relation maternelle avec quelqu'un. Mais parfois, c'est bien plus difficile que l'on croit de se débarrasser de son passé.