NOM ▽ Delacroix PRÉNOMS ▽ Anne-Sophie, Sage SURNOM(S) ▽ Goodgirl Weedy ÂGE ▽ 19 ans DATE DE NAISSANCE ▽ 5 janvier LIEU DE NAISSANCE ▽ Paris ORIGINES ▽ française NATIONALITÉ ▽ française ORIENTATION SEXUELLE ▽ héteroxuelle STATUT SOCIAL ▽ Aisée STATUT CIVIL ▽ célibataireMÉTIER ET/OU ÉTUDES ▽  mannequin AVATAR ▽ kristina bazan CRÉDITS ▽ Bazzart et TUMBLR

QUALITÉS ▽ Souriante, Talentueuse, Intelligente, Sociable,  Extravertie, sûre d'elle, Aimable, Réfléchie, Joueuse.
DÉFAUTS ▽ Hypocrite, Trop Facile, Commère, Manipulatrice, Jalouse, Excessive, A peur de l'amour, Menteuse.

PSEUDO/PRÉNOM ▽ alexwaldorf ÂGE ▽ 18 ans SEXE ▽ Mec :D PLANÈTE/PAYS/RÉGION ▽ La Planète Panda LES LICORNES, TU AIMES ? ▽ On me surnomme Princess Unicorn T'AS PAS ENVIE D'ÊTRE UN PANDA, TOI ? ▽ Mais OUESH les pandas c'est trop le bien quoi :O TU NOUS AS CONNU COMMENT ? ▽ Je ne sais plus ON EST BAISABLE OU PAS ? ▽ A DONFFFFFFFFFFFFFFF UNE PROPOSITION OU SUGGESTION A NOUS FAIRE ? ▽ aucune :D UN DERNIER TRUC A DIRE POUR TA DÉFENSE ? ▽ Suis je assez bien pour vous?

Code:

<pris>KRISTINA BAZANɷ</pris> a-s. sage delacroix

La musique se mit en route et la jeune femme s'avançait sur le podium, d'une démarche si aérienne qu'elle donnait l'impression d'être un papillon prenant son envol. Elle semblait être au-dessus de tout. Au-dessus de ce monde froid et hypocrite dans lequel elle évoluait depuis qu'elle était en âge de marcher, au-dessus de toutes ses autres pimbêches se trouvant dans son dos. Elle n'affichait aucune émotion et tel un gracieux automate, elle fit demi-tour direction les coulisses pour passer sa deuxième tenue. Arrivés dans les coulisses, tous les regards étaient positionnés sur elle. Lors de son deuxième passage, la tension contenue dans l'air semblait explosée à son passage. Son regard hautain loin au-dessus, elle se sentait comme possédée par les vêtements. Elle retournait dans les coulisses pour se changer pour la soirée donnait juste après le défilé dans une boîte huppé de la ville. Une fois de nouveaux prêts, elle prit le bras de sa meilleure amie qui l'attendait devant les loges. «  Alors j'ai été comment ? » Demandait le jeune mannequin à sa meilleure amie. «  Tout simplement radieuse ! D'ailleurs chérie, tu as faits beaucoup d'effet à un certain Mr Delacroix... » La jeune reine du podium fit des gros yeux. Mr Delacroix était un des compositeurs les plus en vue du Tout-Paris et il l'avait vu défilé. Se frayant un chemin vers le bar, les deux amies voulaient fêter comme il se doit le plus fabuleux des défilés de la fashion Week parisienne, se trémoussant dans la boîte elles semblaient avoir construit un mur autour d'elle, un mur que personne ne voulait briser. Pourtant, elle sentit une main faire pression sur ses hanches. La jeune modèle de 15 ans fit volte-face pour se retrouver nez à nez avec ce fameux homme. Elle lui sourit gêné. Il avait le double de son âge et était réputé pour être l'homme le moins sérieux de tout Paris. On lui savait des maitresses un peu partout – et selon la légende c'était là ses sources d'inspiration-. Il lui demandait si cela lui disait de danser un peu. La jeune fille ne put pas refuser de l'accompagner. Deux heures plus tard, ils ne s'étaient toujours pas lâchés. Mains dans la mains, de plus en plus proches l'un de l'autre. À la fin de la soirée, ils se sont séparés avec la promesse d'un lendemain. Il ne manqua pas, ni même ceux d'après et ceux d'encore après...
« Paul je suis enceinte... » Voilà huit ans que la jeune mannequin et le compositeur se voyaient, au début, ce n'était rien de plus qu'un flirt, mais plus le temps passait, plus les sentiments apparaissaient entre les deux personnes, seulement voilà ayant chacun leurs carrières et leurs réputations aucun d'entre eux n'osaient avouer leurs sentiments. Ainsi, les deux amants finirent par se marier et quelques mois plus tard naquit leur fille unique portant le doux prénom de Sage.
« Sage soit une gentille petite fille et reste ici d'accord . » M'avait dit maman en me baisant le front. Je la vis partir vers les jeunes mannequins qu'elle devait diriger pour cette séance. Elles semblaient toutes plus stresser les unes que les autres et cela me faisaient mal au cœur de les voir dans tous leur état. La première passa sous les griffes du photographe. Comme je l'enviais. Moi aussi je voulais que l'on me prenne en photo, moi aussi je voulais défiler. Je me levai de sur ma chaise et parti en courant vers les jambes de ma maman en les encerclant avec mes petits bras de fillette de cinq ans. «  Dis Maman, je peux faire des photos . » Son regard se décrocha de son mannequin pour se poser sur moi et dans un demi-rire elle me le promis. Deux heures plus tard, j'étais entre les mains de la maquilleuse et de la coiffeuse de la séance. Je me sentais stressé, mais pas de ce trac monstrueux qui te torture le ventre, non, un stress qui signifiait beaucoup plus que cela. Une fois devant les photographes, je me sentais comme dans mon élément, enchaînant pose sur pose. Tous les regards étaient posés sur moi, sur cette petite gamine aux grands yeux bleus. Une fois ma séance terminée, ma mère me prit dans ses bras tout en me disant que j'avais été parfaite et que j'étais comme elle faite pour cela. Dès lors, je continuais les séances photos et les unes après les autres je me révélais aussi douée que ma mère.

« Maman pourquoi a tu arrêté les photos ? » Je devais avoir 15 ans, ma carrière avait pris un tout nouveau tournant, je n'étais plus simplement Sage, la fille de la directrice, mais j'étais devenu, Sage top de chez Élite. Ma mère ne répondit pas à ma question, depuis son divorce elle avait pris un sacré coup de vieux, après tout ceci était évident, mon père était un homme à femmes et elle avait mis un terme à sa carrière par amour. Je la pris dans mes bras, comme une promesse que je lui faisais, comme une promesse de ne jamais arrêté ce qui me maintenait à la vie, ce qui nous maintenait toutes les deux. Ainsi, j'évitais les rendez-vous, les sorties entre potes. «  Sage décoinces-toi un peu ! » M'avait un jour dit Banbis. Je lui avais répondu par peur que je ne voulais pas mettre ma carrière en péril, elle m'expliqua que je pouvais m'amuser tout en respectant ma carrière comme le faisaient tous les mannequins en vogue. Ainsi, le samedi suivant, nous étions en route pour une soirée donné en l'honneur de Largafield pour lequel nous avions défilé. Lors de cette soirée, j'avais bu... Un peu trop d'ailleurs. Et il y avait ce garçon. Il était beau. Trop beau pour être vrai. Lui aussi était dans le milieu de la mode. Nous avions passé la soirée ensemble, flirtant et buvant. Puis ce fut le trou noir...
Je m'étais réveillé dans la chambre de Banbis. Celle-ci était apparemment déjà levé depuis des heures. «  Quand je t'ai dit de te lâcher, je t'ai pas dit de le faire avec n'importe qui ! » Je ne comprenais pas, alors elle m'a raconté comment elle m'avait retrouvé dans les toilettes en compagnie de l'assistant de ma mère. Sur le coup, j'eus honte, mais trop curieuse de savoir ce que j'avais fait, nous ressortions le week-end d'après. J'avais décidé de rester sobre, on avait élaboré une tactique : je m'assis seule dans un coin de la boîte, attendant que les garçons viennent me voir. Il ne s'était pas fait tardé. Rapidement j’enchaînais les mecs. Jusqu'à tomber sur lui. On avait parlé et apparemment il me connaissait déjà. Je ne me souvenais pas, en partant il m'offrit son numéro. Puis je finis la nuit dans les bras d'un autre. La presse people apprit rapidement ma passion pour mes fins de soirées assez chaudes en fit leurs unes en me présentant comme la nouvelle princesse de la débauche. Ma mère ayant toujours faite attention à l'image de ses mannequins eut beaucoup de mal à digérer ceci et m'envoya ici. L'antenne sur place avant besoin d'une touche européenne que j'étais censé leurs apporté...