« Nicolabigail, le retour  »

Ce matin tu t'étais bien réveillée, un petit réveil seule dans ton lit. Tu n'avais même pas laissé le temps à ton réveil de sonné que tu venais de sortir de ton lit pour l'éteindre. Tu marcha le long de ta chambre les yeux presque fermés pour te retrouver face à ton miroir dans ta salle de bain qui est collée à ta chambre. Tu leva la tête et tente de remettre en ordre tes cheveux en bataille. Tu soupires lorsque tu vois ton visage, tout pâle et pas très joyeux. Tu fouilla dans ton placard pour y sortir une serviette, pour enfin déshabiller le peu de couche qui était sur toi (soit, ton petit short et un débardeur). Tu les jeta dans la corbeille à linge sale, puis tu alluma l'eau chaude. Une bonne douche à l'eau chaude, tu y resta une bonne vingtaine de minute le temps de savourer cet instant. Tu sors de la douche en attrapant ta serviette pour te la mettre autour du corps. Tu attrapa ta brosse à cheveux pour te brosser les cheveux, tu allais les laisser naturels, bouclés. Ta chevelure blonde se boucla instinctivement, tu y mets de la mousse afin que tes bouclettes soient jolies. Ensuite, tu alla dans ta chambre, tu regarda par la fenêtre pour voir le temps qui fait. Il avait l'air de faire beau alors tu fouilla dans tes affaires pour récupérer ta chemise en cachemire rose pâle sans manche que tu mit dans ton short noir afin que ta chemise ait du volume au niveau de ton ventre. Ton short noir qui s'arrêtait en haut de la jambe était qu'un simple short montant. Lorsque tu as finis de t'habiller tu jette un œil à ton téléphone pour voir l'heure, il était presque dix heures et demi. Tu mis ton lisseur à chauffer, le temps de mettre tes talons rose pâles qui allait parfaitement bien avec ta chemise. Finis de mettre tes talons, tu choppa tes clefs sur la commande de ta chambre tu les jeta dans ton sac noir. Tu lissa tes mèches de devant pour faire des petites bouclettes naturels à la fin. Ensuite, tu commença à te maquiller naturellement. Une couche de BB crème, légèrement du mascara et le tour est joué. Ton rouge à lèvre naturel était déjà dans ton sac noir. Tu attrapa ton sac noir et tu descendais à toute vitesse les escaliers. Tu fermais la porte derrière toi en vérifiant que ton téléphone est bien dans ton sac. La porte fermé, tu attrapa ta voiture pour enfin arrivé devant chez Nicolaï, ton meilleur ami depuis toujours. Tu sonna à sa porte, toute excitée de revoir sa petite chérie. Quelques secondes plus tard, Nicolaï ouvrit la porte, les mains mouillées, il était sûrement entrain de faire la vaisselles. Tu lui souris. Nicolaï! Comment ça va? Tu lui sauta au cou. Il t'avais véritablement manqué. Pendant des années Nicolaï t'évitais, s'était littéralement éloignée de toi. Après la mort de sa femme, il n'était plus dans sa forme et tu as due t'éloignée également à contre cœur pour le laisser faire son deuil sans complication. Ce qui t'avais le plus fais mal au cœur, c'est qu'il avait délaissé sa petite fille d'amour aussi. Celle qui tu as vue quotidiennement chez ses grands parents. Tu ferma la porte derrière toi, comme si c'était chez toi. Où est la princesse de la maison? Puis, tu voyais la petite princesse courir vers toi. Tu souris, et tu l'attrapa au passage pour lui faire un gros câlin. Tu lui demandais comment ça allait, elle te répondit qu'elle allait bien et qu'elle était contente de te voir. Tu souris et l'embrassais avant de la laisser tomber pour marcher. Tu allais rejoindre Nicolaï dans la cuisine. Tu cherchait un chiffon pour essuyer la vaisselle qu'il lavait. Tu allais à côté de lui, et commençais à essuyer la vaisselle déjà propre pour la mettre de côté pour ensuite la rangée. Tu raconte quoi alors? Pendant que tu entamais la conversation, la petite venait d'arriver dans la cuisine, assise sur la chaise pour écouter notre conversation. Cela ne te dérangeais pas. Au contraire, tu aimais sa présence. Tu la considérais comme ta propre fille, comme ta nièce. Tu as connue sa mère, et tu aime plus que tout son père, comment ne pas aimer unn petit ange. Mais tu savais que Nicolaï voyais sa femme dans sa petite fille, qui lui ressemblait horriblement.